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Ci-dessous vous trouverez une brève introduction des articles publiés.
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Tous les articles suivants sont écrits par Henk Rensink ©.
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L’avènement de la musique artistique et l’introduction du cor dans l’orchestre vers 1680, du trombone en 1810, de la trompette à pistons en 1826 et du tuba basse en 1860, créèrent également le besoin d’embouchures (plus) perfectionnées pour les musiciens. Un livre de l’allemand Michael Praetorius de 1619, richement illustré, permet de voir que les embouchures de tous les instruments de cette époque avaient encore la même forme et qu’elles ne différaient l’une de l’autre que par leurs dimensions.
Il y a bien longtemps que ce n’est plus une exception que de très petits enfants apprennent déjà à jouer d’un instrument de musique. Au Japon, on commence déjà dès la maternelle et dès l’école primaire à jouer du violon. Et dans les familles tziganes ce n’est pas inhabituel de familiariser dès le plus jeune âge des enfants qui savent à peine marcher, de manière ludique, avec un violon ou une guitare. Jouer d’un cuivre ne constitue pas une exception, car dans certains pays ceci est pour ainsi dire une nourriture absorbée avec une cuiller de panade. Les premiers enseignements sur des cuivres se dirigent la plupart du temps vers le cornet ou la trompette, car ce sont ces instruments qui peuvent le plus facilement être manipulés par des enfants.
Un bonheur dans un malheur
Il fallait que ça arrive! Tu as la fringale et, sans réfléchir, tu introduis dans ta bouche une croquette bien brûlante. Et immédiatement, tu paniques. Car tu te rends compte que tes lèvres sont sérieusement brûlées ! Un rapide coup d’œil dans le miroir te confirme qu’avec de telles cloques, il ne sera pas question de jouer tout à l’heure. Comment honorer la prestation prévue devant une salle pleine de fans déchaînés? Heureusement, pour Louis Armstrong, le trompettiste légendaire, cela se passa mieux, lorsqu’il lui arriva un incident presque similaire juste avant un concert aux Pays-Bas. D’avoir déjà joué tellement durant de nombreuses années, il avait tant de callosités ‘protectrices’ sur ses lèvres qu’un tel accident ne pouvait pas lui nuire. Mais cette « petite peau supplémentaire » le dérangeait parfois à un point tel qu’il la coupait à l’aide d’une lame de rasoir ! Et ce n’était pas la seule chose que le téméraire maestro faisait, car il entaillait également le bord de son embouchure de petites entailles pour que ses lèvres calleuses puissent mieux s’y fixer.
Par le spécialiste des embouchures
Les embouchures pour les exécutants de cuivres sont fabriquées en métal résistant. Une embouchure laisse souvent une marque sur la bouche, preuve que les lèvres sont molles et sensibles aux blessures. Les dents également, qui soutiennent le tout, sont fragiles et peuvent se casser. Des soins élémentaires diminuent les risques de lésions et prolongent la durée de vie des différents éléments.
Par le spécialiste du bec
Les becs de clarinette et de saxophone sont fabriqués très méticuleusement avec une finition très lisse. C’est ainsi qu’ils fonctionnent de manière optimale. Durant leur utilisation il se forme une petite couche de matière sur et à l’intérieur du bec, apportée par la salive et l’air ambiant. Ce dépôt se fixe entre autres sur la pointe du bec et à l’intérieur de la chambre de l’embouchure et de la perce. Ceci provoque une plus grande résistance de frottement et influence de manière négative le son et l’intonation. De plus, ce n’est pas propre et hygiéniquement négatif car cela peut provoquer des moisissures, etc.